Dans les troubles anxieux, la peur est ressentie de manière disproportionnée, c’est-à-dire de manière inappropriée et/ou infondée par rapport à la situation ou au déclencheur. Par ailleurs, ces troubles s’accompagnent fréquemment de sérieux handicaps dans la vie quotidienne induits par un comportement (prononcé) d’évitement face à l’élément déclencheur de la peur. Les autres caractéristiques sont des craintes intenses, des tensions et des inquiétudes au niveau de la motricité, ainsi que la peur de la peur. Les accès de panique se manifestent généralement par de violentes palpitations cardiaques, des accès de transpiration, du mal à respirer, une sensation d’oppression et des vertiges. Les accès d’angoisse et de panique, associés au comportement d’évitement, sont souvent à l’origine d’un cercle vicieux qu’il faut absolument briser. Les femmes sont généralement touchées deux fois plus souvent que les hommes.
Angoisse | Évitement de la peur

Diagnostic obtenu par l’EEG quantitatif: l’origine de l’anxiété peut se situer dans différentes régions du cerveau et se manifester ensuite dans diverses zones cérébrales, provoquant ainsi des déséquilibres. Au-delà des troubles décrits ci-dessus, ces déséquilibres provoquent une série autoconditionnée d’activités déclencheuses d’anxiété qui sont susceptibles de se manifester. L’EEG quantitatif (qEEG) permet d’identifier ces foyers problématiques (dont les manifestations sont fréquentes) et de les combattre de manière ciblée.

Comment le Neurofeedback peut-il aider? Le Neurofeedback permet d’apprendre à s’autoréguler dans des situations déclencheuses d’anxiété pour réussir à se calmer soi-même et de manière autonome et à apaiser les symptômes physiques tels que la tachycardie. En outre, le neurofeedback aide à sortir du cercle vicieux de l’évitement et de l’anxiété grandissante ainsi qu’à intensifier les états de détente.

Dans les troubles anxieux, la peur est ressentie de manière disproportionnée, c’est-à-dire de manière inappropriée et/ou infondée par rapport à la situation ou au déclencheur. Par ailleurs, ces troubles s’accompagnent fréquemment de sérieux handicaps dans la vie quotidienne induits par un comportement (prononcé) d’évitement face à l’élément déclencheur de la peur. Les autres caractéristiques sont des craintes intenses, des tensions et des inquiétudes au niveau de la motricité, ainsi que la peur de la peur. Les accès de panique se manifestent généralement par de violentes palpitations cardiaques, des accès de transpiration, du mal à respirer, une sensation d’oppression et des vertiges. Les accès d’angoisse et de panique, associés au comportement d’évitement, sont souvent à l’origine d’un cercle vicieux qu’il faut absolument briser. Les femmes sont généralement touchées deux fois plus souvent que les hommes.
Angoisse | Évitement de la peur

Diagnostic obtenu par l’EEG quantitatif: l’origine de l’anxiété peut se situer dans différentes régions du cerveau et se manifester ensuite dans diverses zones cérébrales, provoquant ainsi des déséquilibres. Au-delà des troubles décrits ci-dessus, ces déséquilibres provoquent une série autoconditionnée d’activités déclencheuses d’anxiété qui sont susceptibles de se manifester. L’EEG quantitatif (qEEG) permet d’identifier ces foyers problématiques (dont les manifestations sont fréquentes) et de les combattre de manière ciblée.

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